Que lire
en ces longues journées de ce bel été ?
Faisant
fi de toute hypocrite modestie, et me rappelant que l'on est jamais si bien servi que par soi-même ou que aide-toi et le ciel t'aidera et autres axiomes de la sagesse des
nations, je bafoue donc toute pudeur pour vous conseiller d'emporter sur les
plages, dans le creux des vallons ou le sommet des montagnes un roman qui peut
vous consoler , et même vous venger, des ineptes horreurs du monde moderne,
roman intitulé Une femme d'Etat, et
dont je suis le peu humble auteur.
Quelques
extraits de critiques :
"Une
farce d'une alacrité et d'une énormité rabelaisienne (...).Là où Muray
analysait les prosternations flagrantes ou inconscientes, Desgranges les met en
scène (...) premier tableau des mœurs contemporaines qu'en farouche balzacien
il a choisi de peindre." (Philippe Delaroche, Lire )
"...ce
tableau de mœurs contemporaines (...) lève un coin de voile sur les lieux de
pouvoir et l'insignifiance de ceux qui les occupent. Attaché à rire de ce dont
on pourrait pleurer, Michel Desgranges évoque le futur immédiat avec des
couleurs terrifiantes." ( Sébastien Lapaque, Le Figaro littéraire )
"Ce
livre est un tourbillon. On est entraîné sans pouvoir reprendre son souffle
dans les aventures extravagantes et cyniques de cette femme d'Etat..."
(Michel Pierre, Parutions.com )
"( le
roman) le plus hilarant, le plus caustique, le plus dévastateur qu'il m'ait été
donné de lire depuis longtemps. (...) ce sont bien nos ridicules et nos travers
qu'observe l'auteur. Avec une délectation narquoise. Et une connaissance
précise du monde de la politique, de la finance, des arts, de la mode et des
media.(...) On rit, d'un bout à l'autre. On se dit d'abord qu'il force
exagérément le trait. Et puis, tout compte fait, on est bien forcé d'admettre
qu'il s'est contenté de promener le fameux miroir le long de notre chemin.
(P.L. Moudenc, Rivarol )
Se trouve
dans toutes les bonnes librairies ou,
par correspondance, chez www.amazon.fr
et www.lesbelleslettres.com
Je puis qu'aller dans le sens de l'auteur : les réjouissances, hilarités et autres jubilations sont garanties par la maison Goux & femme.
RépondreSupprimerJe NE puis, abruti !
SupprimerIl arrive aussi que l'on oublie quelque H....
SupprimerUn grand merci, cher Maître, d'un pauvre auteur réduit à faire lui-même , par +40°..., la réclame de sa marchandise.
SupprimerC'est vrai qu'il faut chaud. Eh bien, j'ajoute ça à ma liste de choses à lire.
RépondreSupprimerCommandé à l'instant chez Amazon suite à l'élogieuse critique de Didier Goux qui nous vante les "élucubrations" et les "boursouflures" d'un romancier imaginatif.
RépondreSupprimerExcellent mouvement !
SupprimerJe viens d'entamer le chapître "Trois" et j'avoue que Maître Goux n'avait point menti: l'imagination est effectivement au rendez-vous. Ainsi qu'une effervescence qui n'est pas sans rappeler l'Ecume des Jours.
SupprimerPar contre, un détail: je connaissais les civilisations toltèque et olmèque... mais oltèque ? Est-ce voulu ?
Bon, je m'y replonge de ce pas...