david in winter

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Editeur. Ecrivain. Dilettante

mardi 27 janvier 2015

Une leçon de journalisme: la France Obertone

      

        Un billet de M. Goux éveille ma curiosité..., quelques clicks..., j'achète l'ouvrage de M. Obertone  (sic) intitulé La France big brother.
     J'ouvre au hasard.
     Je lis : "  Perdriel (...) a récemment repris Le Nouvel Obs".
     M. Perdriel a effectivement repris le Nouvel Obs  --il y a un bon demi-siècle.
      Un passage sur les salaires des journalistes..., est cité M. Plenel, l'une des cibles préférées de M. Obertone. Rien sur le salaire de M. Plenel au Monde, ni ses indemnités de départ, cela a pourtant été publié, vérifié, et eût apporté une eau bien grasse au moulin de M. Obertone.
      Je feuillette encore, tombe sur une évocation absurde de l'inceste dans les sociétés primitives, je referme l'ouvrage, vais le porter dans la grange, derrière des ballots de fourrage, là où passent de voraces et moustachus petits rongeurs.
    M. Obertone est diplômé d'une école de journalisme est-il écrit au dos de la couverture, c'est une précision redondante.

   P.S. Le lecteur curieux trouvera un intéressant portrait de M. Perdriel, et qui le rend fort sympathique, dans les divers volumes du Journal de Jacques Brenner, qui fut son ami.

5 commentaires:

  1. Pas non plus beaucoup de sympathie pour ce journaliste ultrasonique…

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  2. Vous écrivez : "M. Obertone est diplômé d'une école de journaliste".

    Il faut écrire "de journalistes" ou "de journalisme", mais pas "de journaliste".

    Moi aussi je m'attaque à l'essentiel de ce que vous écrivez, pas aux fioritures.

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    1. Ce commentaire a été supprimé par un administrateur du blog.

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  3. Je l'ai acheté hier, pour la même raison que vous (merci Didier Goux) et l'ai lu d'une seule traite.
    C'est très inégal, je vous l'accorde, et le début est plutôt laborieux, mais loin de le balancer dans une poubelle, je vais m'empresser de le faire circuler. Malgré ses quelques défauts c'est un livre de résistance, et par les temps qui courent il n'y en a pas beaucoup...

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