Un billet de M. Goux éveille ma
curiosité..., quelques clicks...,
j'achète l'ouvrage de M. Obertone (sic)
intitulé La France big brother.
J'ouvre au hasard.
Je lis : " Perdriel (...) a récemment repris Le Nouvel Obs".
M. Perdriel a effectivement repris le Nouvel Obs --il y a un bon demi-siècle.
Un passage sur les salaires des
journalistes..., est cité M. Plenel, l'une des cibles préférées de M. Obertone.
Rien sur le salaire de M. Plenel au Monde,
ni ses indemnités de départ, cela a pourtant été publié, vérifié, et eût apporté
une eau bien grasse au moulin de M. Obertone.
Je feuillette encore, tombe sur une
évocation absurde de l'inceste dans les sociétés primitives, je referme
l'ouvrage, vais le porter dans la grange, derrière des ballots de fourrage, là
où passent de voraces et moustachus petits rongeurs.
M. Obertone est diplômé d'une école de
journalisme est-il écrit au dos de la couverture, c'est une précision
redondante.
P.S. Le lecteur curieux trouvera un
intéressant portrait de M. Perdriel, et qui le rend fort sympathique, dans les
divers volumes du Journal de Jacques
Brenner, qui fut son ami.
Pas non plus beaucoup de sympathie pour ce journaliste ultrasonique…
RépondreSupprimerVous écrivez : "M. Obertone est diplômé d'une école de journaliste".
RépondreSupprimerIl faut écrire "de journalistes" ou "de journalisme", mais pas "de journaliste".
Moi aussi je m'attaque à l'essentiel de ce que vous écrivez, pas aux fioritures.
Faute de frappê corrigée.
SupprimerCe commentaire a été supprimé par un administrateur du blog.
SupprimerJe l'ai acheté hier, pour la même raison que vous (merci Didier Goux) et l'ai lu d'une seule traite.
RépondreSupprimerC'est très inégal, je vous l'accorde, et le début est plutôt laborieux, mais loin de le balancer dans une poubelle, je vais m'empresser de le faire circuler. Malgré ses quelques défauts c'est un livre de résistance, et par les temps qui courent il n'y en a pas beaucoup...